Le phénomène a vu le jour en 2000 avec le site de jeux GoldenGlobes qui a vite compris l’intérêt du skinvertising en rémunérant le boxeur 100 00$ contre leur marque sur le dos. Cependant, des problèmes se posent, de nature éthique notamment.
Le corps réduit à un espace publicitaire deviant corps objet, ce qui soulève des problèmes d’éthique.
Il arrive que des personnes portent aujourd’hui sur la peau, des marques ayant fait faillite ou des url aujourd’hui disparues. Les retirer coûte très cher et souvent les personnes doivent vivre avec et… avec leurs regrets.
Certains tatouages font le buzz en jouant sur la vulgarité du dessin ou même l’emplacement... À titre d’illustration, le tatouage Mini sur un penis qui a valu une Mini Cooper à son détenteur.
Des pizzas gratuites pendant un siècle contre un tattoo ?
C’est l’opération qui a été lancée par Dominos pizza. En raison du grand nombre de demandes, l’enseigne a vite dû écourter l’événement.
Payé entre 2 000 et 19 000 euros par tatouage, ce Canadien connu sous le nom de Hostgator souhaitait intégrer le Guiness des Records. Aujourd’hui, il se fait suivre par un médecin pour enlever ses tatouages.
Marie-Charlotte d'Angelo, étudiante SUP’DE COM en Bachelor 2ème année.
Communication éco-responsable : nouvelle tendance pour les marques
Les micro-influenceurs : petits mais puissants !
Le secret de l’émotion… un buzz sans modération !
La publicité digitale
LE STREAMING 2.0
Instagram : Les influenceurs de demain - du réel au virtuel ?
Vos commentaires (0)
Ajouter un commentaire